| Mar 27 Oct - 14:53 | | Katherina de Salazar y Almonte Identité SURNOM: Aucun pour le moment. DATE DE NAISSANCE: 01/03/1768 LIEU DE NAISSANCE: Madrid SEXE: Féminin ORIENTATION SEXUELLE: Bisexuelle NATIONALITÉ: Espagnole APPARTENANCE: Ordre des Templiers RANG: Chevalier PERSONNALITÉ: - Caractère:
Grand-Maître, Je vous remercie pour avoir accepté ma demande et avoir accueilli ma fille à Paris, j'ai bien conscience que des temps de changements approchent et l'occasion pour elle de découvrir un autre monde sera je pense l'ingrédient qu'il convient à lui faire à jamais oublier ses dépravations passées.
Vous découvrirez en Katherina une jeune femme volontaire, farouche sous bien des aspects je le déplore, mais profondément loyale envers notre cause. Même au plus profond de ses turpitudes, elle n'a jamais perdu de vue les objectifs supérieurs que notre ordre poursuit. Dévouée jusqu'à la mort et je dois bien l'avouer, belle à en mourir, je pense qu'elle sera un parfait outil entre les mains d'un esprit si brillant que le vôtre. Les choses du passé et son mariage lui ont appris à ne pas quêter l'amour chez autrui, la famille n'est pas chose d'amour, mais de devoir, tout comme notre ordre. Aussi ne risquaient vous pas de la voir plonger dans les mêmes travers qu'elle connut à Madrid. Bien au contraire, je pense qu'elle serait tout à fait apte à exploiter à présent ces mêmes travers chez autrui.
Fière et orgueilleuse, elle ira jusqu'au bout de sa mission et emploiera tout moyen qu'elle jugera bon. Aussi, bien qu'elle n'ait pas reçu l'entrainement physique approprié pour en faire une véritable menace face à un combattant entraîné, elle saura manipuler et détourner l'attention de ce même combattant, se tissant rapidement une place auprès de lui pour vous conter ses aventures et mésaventures avant d'attendre votre signal pour en disposer de manière définitive.
Car si je dois bien avouer quelque chose, c'est l'absence de considération pour autrui. Fougueuse, elle déploiera des moyens colossaux pour ceux qui parviendront à avoir l'honneur d'être qualifiés par elle de "proches", mais ne disposera jamais quelqu'un d'extérieur que comme un outil ou en fonction d'une loyauté partagée.
J'espère que ces quelques mots auront su vous réconforter dans le risque que vous avez pris pour moi et exprimer mes remerciements pour tout ce que vous avez fait.
Bien à vous, Roberto de Salazar y Velazquez.
PHYSIQUE: - Physique:
La lanterne se balançait lourdement au bout du bras du soldat. Les pavés se glissaient sous lui avec une forme de banalité qu'il avait appris à connaître au cours de ses longues nuits de patrouille. Le fusil à l'épaule, l'oeil aux aguets et un bâillement sur les lèvres, il ne saisit pas tout de suite le changement dans son environnement. Pourtant.. Quelque chose lui disait qu'il n'était plus seul. S'arrêtant en soulevant sa source de lumière au niveau de ses yeux il balaya ses environs du regard avant de finalement capter un léger chatoiement légèrement plus loin dans la rue, à l'embouchure d'une voix secondaire.
~ Vous ! Arrêtez ! Par ordre de sa majesté ! Le chatoiement s'arrêta aussitôt alors qu'il s'approchait suffisamment pour découvrir une forme humaine dissimulée sous une lourde cape de soie. La silhouette pivota lentement, révélant le hors-la-loi aux yeux de l'officier du guet.
Ravâlant inconsciemment le mot qu'il était sur le point de prononcé, il lui fallut quelques instants pour reprendre contenance face à la jeune femme qui lui faisait face. Le teint hâlé se découvrant avec silence sous le halo grandissant de la lampe, la demoiselle suspendit son geste, comme prise en fragrant délit. Baissant un instant les yeux en signe de soumission à l'autorité, elle attendit que l'homme s'approche d'elle.
~ Mademoiselle ? Puis-je savoir ce que vous faîtes seule ici ? Et à cette heure ? N'êtes vous pas consciente des troubles ? Il n'est point permis aux bonnes gens de sortir passer la nuit.
~ Toutes mes excuses officier, je.. Je n'ai pas d'excuses.
Relevant lentement les yeux vers lui en lui jetant un regard de biais, elle n'eut pas de mal à capter son regard, noyant l'esprit de l'homme dans les billes froides et bleutés qui n'étaient pas sans rappeler un lac par une froide journée d'hiver. S'approchant d'un pas vers lui tout en abaissant la lourde capuche qui dissimulait son abondante chevelure sombre, ses boucles dégageant une agréable odeur de jasmin qui ne mit pas longtemps à emplir l'air autour d'elle.
~ Je rentrais chez moi après une visite à une amie alitée. Rien de grave je suppose, n'est-ce pas ?
Tout en parlant, elle continuait d'avancer vers lui, soulevant légèrement les pans de sa cape pour dévoiler accidentellement les formes engoncées dans une robe au corset tout à fait approprié. Son sourire s'élargissant en observant le regard de l'homme glissait vers le bas pour embrasser du regard ses courbes généreuses, elle franchit le dernier pas qui le séparait d'elle.
~ Mais maintenant que vous êtes là.. Je comprends bien ma bêtise.. S'il devait m'arriver malheur, qui pourrait bien l'aider ?
Tout à son examen l'homme ne put que hocher la tête, des plans invraisemblables remplaçant bientôt dans son esprit les questions génériques.
~ Peut-être... Non, ce serait trop vous demander..
~ Madame ! Sur mon honneur ! Continuez.
~ Je suis votre humble servante officier.. Confia t-elle avec le sourire d'un chat joueur. Peut-être pourriez vous m'accorder votre bras pour rentrer en ma demeure ? Je serais bien plus rassurée de vous avoir pour m'escorter.
L'affaire était entendu, l'homme ne pouvait lui refuser de rester dans la cadre de la loi. Après tout le couvre-feu n'était-il pas là pour empêcher les activités criminelles ? Quel danger pouvait bien représenter une si adorable créature ? Et surtout quel crime pourrait-elle commettre alors qu'il gardait l'oeil sur elle ?
~ Je suppose que je puis faire une entorse à mon trajet pour raccompagner une demoiselle perdue, sous ma garde il ne vous arrivera rien !
~ Oh, je le crois bien officier. Je m'attends à une garde très attentive de votre part..
Histoire 1er mars de l'an de grâce 1768 - Madrid Chaque marche se faisait plus courte que la précédente, chaque appui plus léger alors que Roberto s'élançait presque pour rejoindre la chambre dans laquelle se trouvait sa femme. On l'avait prévenu par missive alors qu'il se trouvait encore chez son fidèle ami Roberto de Calzone y Torre. Quittant le domaine de son précieux allié dans la seconde, il ne mit pas plus de deux heures de plus que le messager pour faire le trajet de retour jusqu'à Madrid où l'attendait comme seule réception les cris de sa femme.
Ouvrant la porte de la chambre avec force, il fit irruption dans la pièce alors que les premiers cris de sa fille retentissaient comme pour faire écho aux cris enfin éteints de son aimée. Elles se tenaient l'une contre l'autre, les deux plus grandes beautés de l'Espagne qu'il avait connu, sa femme, tenant leur nouvel enfant dans ses bras nus. Aucun élan ne prit pour autant l'homme qui s'arrêtait brusquement, comme frappé par un mur, décidé à graver cette scène pour toujours dans sa mémoire. Hélas, le bonheur qu'il devait ressentir à cet instant ne devait pas continuer longtemps, sa femme, bien plus pâle que ce à quoi il s'attendait, lui tendit le lange avant de lui demander de quitter la chambre, lui accordant un ultime baiser comme seule source de réconfort. L'homme ne comprit pas tout de suite, comme dans un état second, mais pour une fois il ne tempêta pas lorsque sa femme lui donna des instructions directes, sans passer par des moyens détournés pour le plier à son idée.
Ainsi commença la vie de la petite Katherina, arrachée aussitôt aux bras de sa mère pour subir le cocon oppressifs et protecteur que son père commença dès lors à tisser autour d'elle. Elevée au sein d'une famille respectueuse de l'aristocratie espagnole, elle apprit très tôt ce qui lui était permis ou non de faire, apprenant les commandements du Christ, suivant ceux de son père et imaginant qu'il n'en serait pas autrement avec ceux de son futur époux. Comment aurait-elle pu savoir, alors encore enfant, qu'en l'espace de trois ans, elle briserait ces trois règlements ?
Tout commença durant sa dix-septième année sur cette terre. Ces seize ans depuis peu révolu, son père la considéra assez vieille pour être en âge de se marier. Il avait toujours éconduit lui-même les soupirants qui avaient pu trouver le chemin de sa porte jusque là, son statut social et la beauté florissante de son cher trésor ne cessant pourtant d'en attirer toujours plus. Ce ne furent néanmoins ni les ardeurs de ces jeune hommes, ni les rêves de sa fille qui le convainquirent d'enfin céder ce qui lui était le plus cher, mais bien un ordre d'une instance supérieure.
Ayant toujours tenu Katherina à l'écart de ses affaires, il n'avait pourtant jamais secret auprès d'elle de son appartenance à un ordre si honorifique que celui des templiers. Retirant une grande fierté de sa position et du travail qu'il accomplissait pour le bien-être du monde, il introduisit finalement sa fille auprès de l'ordre lorsque celui-ci la considéra comme prête.
Son introduction se fit sans heurts, l'homme étant respecté auprès de la branche espagnole, autant pour les sacrifices auxquels il avait consenti jusque là, que pour sa profonde piété et sa loyauté sans borne. Loyauté qui le poussait à présent au questionnement. Il sacrifiait pour l'ordre son bien le plus précieux, le dernier souvenir de son amour perdu, mais pourtant, il acccueilli cette nouvelle soeur avec un sourire lorsqu'elle fut enfin révélée.
Sa première mission au sein de l'ordre avait le mérite de réunir celles de sa condition de femme et d'apprentie de l'ordre. Sacrifiant son corps sur l'autel du mariage pour assurer l'influence de l'ordre dans le commerce vers l'orient.
Offerte en mariage au fils un riche marchand, elle pénétra sa nouvelle demeure armée de deux objectifs, réduire le nombre total d'héritier de la fortune familial à son seul mari et s'assurer que les "intérêts" de celui-ci continuent de converger avec ceux des templiers. Elle ne s'attendait pas alors à approcher sans le savoir des plus grands ennemis de son ordre, ni que leurs objectifs convergeraient. C'est un an après son mariage qu'elle fit la connaissance de Maria. jeune femme de son âge, fiancée à l'un des partenaires commerciaux de la famille, les deux demoiselles ne tardèrent à trouver l'une dans l'autre une oreille attentive et un soutient de tous les instants face aux turpitudes du quotiden. De connaissances, leur relation évolua rapidement et se fit plus profonde, liant d'amitié sur de nombreux sujets, Katherina parvint néanmoins à toujours dissimuler son appartenance à l'ordre, autant à son époux qu'à son amie, même quand les premières morts suspectes survinrent autour d'elle. Suspectes pour tous et même pour elle, car n'étant pas étrangère à la patience, Katherina avait résolu de prendre son temps dans l'accomplissement de sa mission et de ne pas éveiller les soupçons. Déconcertée, effrayée qu'on ne l'accuse de morts qu'elle avait souhaité, mais pas mis en oeuvre, elle trouva en Maria la réponse à ses troubles. Soutenant au mieux son ami, cette dernière se fit rapidement une place dans la maisonnée de son ami et ce bientôt jusqu'à sa chambre.
Les choses se firent naturellement, l'époux de Katherina bien souvent absent pour accompagner la flotter commerciale de son père, Maria ne tarda pas à le remplacer en de nombreux points, amenant son amie à s'affirmer en tant que femme et à découvrir qu'elle avait également le loisir de découvrir la volupté et non pas seulement de l'offrir à son mari. Ce temps divin comme elle s'en souviendrait dura près de trois ans. Trois ans au cours desquels elle ne se sentit pas le besoin de poursuivre sa mission, cette étrange présence autour d'elle se faisant un plaisir d'éliminer les gêneurs à son accession à la fortune de son mari.
En regardant en arrière, elle pourrait se considérer de sotte à l'époque, le rapprochement de Maria et le début des morts n'ayant même soulevé un soupçon dans son esprit, il fallut finalement un aveu de son amie pour lui faire découvrir le pot-aux-roses. Se sentant trahie, flouée, manipulée, elle prit sur elle de ne pas le montrer à celle qui avait finalement cédé à ses charmes. Elle était une assassin, un ennemi de son ordre et chaque soir, sous couvert de se laisser convaincre de la rejoindre, elle lui soutirait des informations sur ses alliés.
Bien que reconnaissante envers Maria, leur amour ne pesait que bien peu face au poids de son éducation, si l'interdit l'avait attiré, une trahison envers son père se révélait bien trop importante à ses yeux pour y consentir sur les seules paroles de son amante.
Une fois certaine que sa mission initiale était accomplie et son mari seul héritier de la famille, elle orchestra son retour tout en conservant Maria près d'elle. Furieux, hors de lui, il réagit comme elle l'avait souhaité et disposa de l'intruse dans son lit comme l'honneur le lui dictait.
Renvoyée chez son père, les liens du mariage seuls ayant empêché son tendre époux de lui faire subir le même sort que sa compagne, elle lui fit part des renseignements qu'elle avait acquis entre deux murmures de Maria au creux de son oreille. Grâce à eux, l'ordre parvint à infliger un grand coup à ses ennemis, éliminant nombre d'agents parasitant le bon déroulement de la cour espagnole. Ces informations, ainsi que la réussite de sa mission, privèrent Katherina de sanction, mais l'obligèrent néanmoins à quitter Madrid alors que les templiers s'apprêtaient à disposer de son époux. Seule, trahie et traîtresse, elle rejoignit un pays pour lequel elle n'avat guère de sympathie, forte de la rîchesse de son défunt époux et du soutient de son père qui administrait maintenant le commerce tant convoité, elle se rendit à Paris pour continuer la lutte.
Derrière l'écran CODE DU RÈGLEMENT: Obligatoire PSEUDONYME: Isa' ÂGE: 22 ans COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM: Par Arno. COMMENT LE TROUVEZ-VOUS?: Très joli graphiquement ! AUTRE CHOSE ?: ♥ Assassin's Creed - Heritage soutient la création; cette fiche a été codée par Orange de CSSActif
Dernière édition par Katherina Salazar Almonte le Mar 27 Oct - 16:48, édité 13 fois |
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« Time of Dying » ~ « Démon des Mers » Messages : 140 Date d'inscription : 10/09/2015 Age : 33 Double Comptes : Arno Victor Dorian, James Lindley Age du personnage : 47 ans Faction : Hors-La-Loi: Pirate Feuille de personnageNiveau: (9/60)Dangerosité: (4/5)Influence: (800/2000) | Mar 27 Oct - 15:11 | | Bienvenue sur le forum ! J'espère que tu t'amuseras bien parmi nous. Bonne chance pour la rédaction de ta fiche =) |
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紅蓮 • « Hónglián » Messages : 377 Date d'inscription : 01/06/2015 Age : 31 Double Comptes : non Age du personnage : 27 Faction : Ordre des Templiers Feuille de personnageNiveau: (31/60)Dangerosité: (2/5)Influence: (2100/16000) | Mar 27 Oct - 17:50 | | Bonjour/ Bonsoir,
Je te souhaite la bienvenu sur le forum Assassin's Creed Héritage, concernant ta fiche présentation, je la trouve vraiment pas mal du tout. Pour le code du règlement, il est correcte. Je peux donc te dire que tu es validé sur le forum. Tu peux donc, maintenant faire les différentes demandes qu'il y a dans le forum, tels que le bottin des avatars, .... ect.
Cordialement Saya. |
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